Le 6 novembre, un petit nombre d'employés malgaches de la sucrerie de complant de Madagascar (SUCOMA) à Morondava, qui ont exprimé des demandes irrationnelles et non légitimes concernant leurs conditions de travail, ne se sont pas vu donner une réponse satisfaisante. Avec des malfaiteurs hors de l'usine, ils ont utilisé des moyens violents et illégaux, en bloquant les routes, coupant l'eau et l'électricité, expulsant les autres employés aux postes, endommageant des matériels de l'usine. Le 26, l'usine a été de nouveau attaquée par des malfaiteurs, qui ont encore une fois recouru à la force. Deux Chinois et plusieurs Malgaches ont été blessés. Le 10 décembre, le procureur et les forces de sécurité de Morondava ont interpellé les principaux malfaiteurs selon les lois malgaches, et ont eu un conflit avec leurs complices. Cela a causé des morts et des blessés. En l'occurrence, la sécurité personnelle des Chinois gravement menacée, les Chinois ont été obligés de se retirer de l'usine. Ensuite, l'usine a été pillée et a subi de lourds dommages.
Depuis la location en
L'Ambassade de Chine à Madagascar est très choquée par l'attaque à l'usine sucrière chinoise à Morondava. Durant cette affaire, l'Ambassade a demandé à plusieurs reprises aux départements compétents du gouvernement malgache de prendre des mesures efficaces pour arrêter les actions violentes des malfaiteurs et bien protéger le personnel chinois et les matériels de l'usine. Il est dommage que la partie malgache n'a pas tenu sa promesse d'assurer la sécurité personnelle et matérielle de l'usine chinoise. Maintenant que Madagascar se trouve à une époque cruciale pour son développement et que